Présentation, histoire
Ces trois objets utilisés depuis la plus haute antiquité et au Moyen Âge font partie de l’imaginaire Bdsm . Ils sont objets de fantasmes, d’humiliation et tout donjon en possède.
Le carcan :
Collier métallique qui sert à attacher un prisonnier à un poteau. Il servait à attacher un condamné en l’exposant à l’infamie d’une humiliation publique. Par extension on appelle carcan tout ce qui engonce, serre, en particulier au cou. Il emprisonnait la tête et les mains.
La cangue
C’est un châtiment similaire au pilori en Occident, à la différence que le bord de la cangue n’était pas fixé à une base, et devait être porté par le prisonnier. Elle n’enserre que la tête laissant les mains libres.
Le cep
C’était un instrument de torture par entrave des membres.
Il consistait en une pièce de bois dans laquelle on enserrait les pieds d’un supplicié assis, souvent exposé à la vue de tous. Les ceps romains comportaient plusieurs trous, ce qui permettait d’écarter considérablement les jambes du condamné pour le torturer davantage. Souvent, la personne qu’on mettait dans ces ceps y était maintenue courbée ou tordue. Il pouvait immobiliser les pieds, les mains et le cou et pouvait être combiné avec le pilori pour fixer les jambes ainsi que le cou et les bras du supplicié.
Au donjon
En bdsm, on appelle Carcan ces trois groupes d’objets.
Ils permettent de goûter aux joies du Bondage médiéval. À l’origine objets humiliation, ils sont devenus objet de bondage. On peut les utiliser pour humilier, punir, contraindre et pour le bondage sexuel.
Accroissement sensoriel
Le carcan peut être utilisé en position horizontale ou verticale.
En position horizontale, je mets la soumise attachée jambe écartée, sur la pointe des pieds, prise dans le carcan et je lui mets une boite d’isolation sensorielle puis je joue avec son corps, martinet, badine, pinces… gode, vibro…
Sécurité
On ne laisse jamais seule une soumise au Carcan, Cep ou à la Cangue. Comme ils permettent des jeux sexuels Bds et sexuels très intenses et on reste attentif a au bien être de la soumise.